il s'agit pour débuter du compte-rendu journalier d'observations naturalistes agrémentées de photos, réalisées lors d'un séjour en Espagne fin mai début juin 2005. il se développe depuis avec mes photos issues de Balades en Nature ou de Voyages.
Préambule d'usage :
Les photos qui suivent et suivront dans cette série ne sont pas prises en milieu sauvage ... puisqu'il s'agit d'un vaste enclos de 180 ha, si ma mémoire est bonne, ouvert au public pour des ballades découvertes de "nos" mammifères forestiers.
Elles constituent donc surtout un souvenir de cette sortie récente et une illustration des animaux que l'on peut apercevoir en milieu naturel forestier, avec un peu de chance ou ... pas mal de préparation ... Là, c'est plus facile donc plus pédagogique !
Ceci dit,
Dans la prolongation du premier numéro de cette série, le second volet est toujours consacré aux photos du Chevreuil, Capreolus capreolus prises dans cet espace protégé.
Les mâles étaient plus visibles que les femelles ; je ne sais pas si c'est dû à la gestion des populations ou bien plutôt à la période de l'année, axée autours de l'oestrus ... En effet, il est indiqué dans le guide des Mammifères d'Europe : "brocards solitaires en dehors du rut".
Tout d'abord une série d'attitudes calmes :
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Préambule d'usage :
Les photos qui suivent et suivront dans cette série ne sont pas prises en milieu sauvage ... puisqu'il s'agit d'un vaste enclos de 180 ha, si ma mémoire est bonne, ouvert au public pour des ballades découvertes de "nos" mammifères forestiers.
Elles constituent donc surtout un souvenir de cette sortie récente et une illustration des animaux que l'on peut apercevoir en milieu naturel forestier, avec un peu de chance ou ... pas mal de préparation ... Là, c'est plus facile donc plus pédagogique !
les arômes du rut :
et leurs conséquences :
Je tiens à préciser que je démarre cette série dans l'ordre chronologique ... Mais j'avoue que ces scènes de reproduction tombent bien pour répondre à des commentaires (très sympathiques !) recueillis récemment : il est en effet plus facile de jouer au voyeur et de figer une scène de reproduction chez les insectes (cf. les articles précédents) que chez les mammifères ... Sauf à organiser une approche de sioux voire un affût ...
En ce lieu plus fréquenté, les distances de fuite étant émoussées, la repro des Chevreuils a donc pu être observée à distance respectueuse et ... à plusieurs reprises, car Monsieur le Brocard, rapide comme le Lapin, remet le couvert à plusieurs reprises !
Tout d'abord une Mouche de la Famille des Taons :
Ensuite, une Tachinidae dénommée Eriothrix rufomaculata, dont les larves sont endoparasites de chenilles de papillons Hétérocères (Lasiocampidae, Pyralidae, entre autre) :
Puis une Mouche de type Syrphe, dénommée Eristalinus sepulchralis dont les larves, (semi-) aquatiques, filtrent les bactéries et particules contenues dans les sédiments :
Enfin, retour sur une Tachinidae, mouche appelée Peleteria rubescens, dont les larves sont également endoparasites de chenilles de Papillons tels que Noctuidae, Lymantriidae, Lasiocampidae et même Papilionidae (en la présence du Machaon) :
Encore une qui ne connait pas Body minute !!