il s'agit pour débuter du compte-rendu journalier des observations naturalistes agrémentées de photos, réalisées lors d'un séjour en Espagne fin mai début juin 2005. il se développe depuis avec mes photos issues de Balades en Nature ou de Voyages.
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Celui-ci a une zone de répartition pré amazonienne, au sud de ce bassin, en Bolivie et au Brésil.
Bien qu'il ait été photographié au même endroit que l'Alapi riverain (ripisylve inondable du rio pixaim), le grisin à grand bec fréquente des milieux plus variés, de la forêt galerie (ici), aux forêts semi caduques ou caduques (forêts sèches) et aux palmeraies. Il occupe fréquemment de petits bouquets d'arbres dans le cerrado (savane plus ou moins arborée, dense, difficile à pénétrer typique de certains habitats du Brésil).
Il a un comportement un peu particuliers parmi les "Antwren", car il descend régulièrement dans le couvert forestier (le sous bois) au lieu de fréquenter strictement la canopée.
L'Alapi riverain est un oiseau inféodé aux forêts inondables du sud amazonien et des régions adjacentes telles que le Pantanal.
Une étude conduite entre 1999 et 2006 (Brésil, Pantanal), a montré que son territoire est exclusif des forêts inondables saisonnièrement et que sa période de nidification qualifiée d'inhabituelle s'étend de janvier à avril ; elle correspond à la période des inondations au Pantanal.
Il se nourrit d'insectes et d'araignées, capturés juste au dessus du sol ou au dessus de l'eau au niveau des berges de bras morts.
Il a été pixélisé ici dans la forêt inondable, à la saison sèche (septembre 2015), dans la ripisylve, le long d'un bras mort du rio Pixaim non loin du southwild Pantanal lodge.
Oiseau déjà montré, mais images retouchées (bien qu'encore sombres et très contrastées, typiques des conditions de prise de vue sous couvert forestier très ensoleillé).
Pour contredire (pour une fois) G. Brassens, le Temps fait tout à l'affaire ici, plus de controverse entre eux [jeunes et vieux], si ce n'est peut être territoriales, brièvement, mais plus rien ne bougeait en réalité ; ici les grosses chaleurs de fin de journée au Pantanal, Sept. 2015, conduisent à la même attitude chez l'Onoré rayé, quelque soit l'âge !! Étonnant, non ? ;o)
Comme quoi, sous le soleil exactement, les tempéraments convergent, s'imitent, se rassemblent, trouvent une trêve, etc. [à vous de choisir !] ;o);) ;) ;)