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Le blog de Patrick Derennes

Le blog de Patrick Derennes

il s'agit pour débuter du compte-rendu journalier d'observations naturalistes agrémentées de photos, réalisées lors d'un séjour en Espagne fin mai début juin 2005. il se développe depuis avec mes photos issues de Balades en Nature ou de Voyages.

Publié le par Patrick Derennes
Publié dans : #nature

 

 

Voici un extrait de wikipedia :

 

La guêpe à galle commune apparaît chaque année sous deux formes, dont l'une se reproduit de façon bisexuée, l'autre par parthénogenèse. Après l'accouplement, l'été, l'insecte femelle pond ses œufs sur les feuilles d'un chêne.

 

Puis les larves, longues de 2 mm, entretiennent le développement de galles sous les feuilles. Chacune de ces galles, qui prend souvent une teinte rouge, abrite une seule larve, qui passe au stade de chrysalide. En hiver, de la chrysalide émerge toujours un insecte femelle, qui perfore la paroi de la galle d'un petit orifice; au printemps, elle pondra des œufs non fertilisés sur les bourgeons d'un chêne. Une galle se forme là encore, très différente: sa taille n'est que de deux ou trois millimètres, et elle est couverte de filaments roux.
Entre mai et juin, des guêpes sexuées naissent de ces galles : elles sont plus petites que celles écloses l'hiver. Un nouveau cycle peut recommencer.

On croyait naguère que les sujets sexués et non sexués représentaient deux espèces d'insectes différentes (« Cynips quercusfolii » et « Spathegaster taschenbergi »).

 

 

L'image ci dessous représente donc la Galle automnale dont sortira une femelle à reproduction parthénogénétique ; c'est à dire qui pondera des oeufs non fertilisés dont sortiront les individus sexués.

 

 

pot-pourri-10-4860Galle_chene271012Se.jpg

 

 

 

Une autre manière de le dire, avec cet extrait des pages d'insectes-net.fr consacrées (entre autre) à la grande variété des Galles du Chêne :

 

 

Cynips quercusfolii


Ces galles atteignent 20 mm de diamètre, et elles sont fixées sur les nervures, à la face inférieure des feuilles. Elles comportent une logette centrale où l'insecte se développe. A l'automne les feuilles tombent, et les galles avec. De ces dernières sortiront des femelles parthénogénétiques qui vont pondre dans les bourgeons. Il s'ensuivra de petites galles qui en mai-juin donneront des individus sexués, eux-mêmes très petits. Après accouplement les femelles pondront dans les nervures, donnant ainsi "naissance" à de nouvelles galles globuleuses, autrement dit à la génération hivernale du Cynips quercusfolii. Là encore on observe donc 2 types de galles, 2 localisations différentes, et 2 générations d'insectes, la sexuée étant printanière, et la parthénogénétique hivernale.



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W
Au moment où le pays de Galles disant dit-on, le psychisme des individus brillent immédiatement des photos de moutons et de vallées, ils ne peuvent pas résister à l'occasion d'imaginer les collines et les vallées avec des moutons brossage joyeusement sur la zone.
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