J’ai eu la chance de pouvoir saisir une seconde scène de Frelon en train de s’occuper d’une proie fraichement capturée.
Alors que je guettais des sujets à photographier auprès d’un buisson en fleur, il est venu se poser tout à côté de moi, sans tenir compte aucunement de ma présence, suspendu par deux puis une
seule pattes et tenant sa proie que j’imagine récoltée sur ce même buisson, puis commençant à la préparer.
cette fois-ci il s’agit d’une mouche Sarcophagidae et il est en pleine action de découpe des pattes et des ailes, puis de finalisation du futur repas des larves au nid ...
la technique, complétant la découpe traditionnelle des parties “non nobles” (ailes, pattes, etc.), est ici plus bien plus mâchouillante qu’avec une abeille sauvage, certainement plus rigide, et
se prêtant donc moins à la malaxation ou au pétrissage de la proie ...
C’est donc plus une version “pâté de mouche” que “sashimi d’abeille” quoi !
Banzaï !